Namur – 13-07-2024 – Communication corporate : le standard BCHQCTM / Dans un monde où l’efficience est au cœur de chaque stratégie de communication corporate, le standard BCHQCTM (Best Cost and High Quality Communication) s’impose comme l’une des solutions les plus pertinentes pour la conception et la production de supports de communication corporate. Conçue pour offrir le meilleur rapport qualité-prix d’une campagne, cette méthode repose sur un équilibre entre coûts maîtrisés et standards de qualité élevés.
Communication corporate : le standard BCHQCTM
Approche intégrée
La méthode BCHQCTM se distingue par une approche intégrée et personnalisée qui prend en compte les spécificités de chaque entreprise/organisation et les attentes de ses publics cibles. À l’issue d’un diagnostic rigoureux des objectifs poursuivis et des attentes de l’audience, elle permet de réaliser des supports de communication qui allient maîtrise des coûts, rentabilité, efficacité et durabilité.
Communication corporate : le standard BCHQCTM
Mouvement Bauhaus
Cette méthode s’inspire du mouvement Bauhaus, un courant allemand fondé en 1919 qui préconise l’efficacité du design et du graphisme. Cette école qui fait encore beaucoup d’émules parmi les graphistes, designers et architectes, prône des principes de fonctionnalité, de simplicité et de rationalité qui sont souvent résumés par l’adage « la forme suit la fonction ». En s’appuyant sur les meilleures pratiques du secteur et en exploitant les technologies de pointe, la méthode BCHQCTM garantit une réactivité et une flexibilité maximales.
Dotée d’une expérience de plus de 25 ans dans le domaine de la communication corporate, l’agence K.ractère recourt à ce standard pour développer les stratégies qu’elle met en œuvre. Chaque étape du processus – de la conception à la livraison du support – est optimisée pour minimiser les coûts sans compromettre la qualité (cf. figure 1). Nos clients bénéficient ainsi de solutions innovantes et adaptées à leur budget, tout en véhiculant une image de marque forte et cohérente.
Communication corporate : le standard BCHQCTM
Pourquoi payer plus ?
Partant du principe qu’une communication de qualité ne doit pas nécessairement être coûteuse, l’efficacité de la méthode repose plus sur une cohérence stratégique que sur le recours à des artifices coûteux. Un diagnostic approfondi des objectifs de l’entreprise/organisation et de son audience cible est ainsi réalisé en amont du projet. Car c’est en comprenant précisément les attentes de son audience qu’une entreprise ou une organisation va pouvoir optimiser l’impact de chaque euro investi.
Indépendamment du budget, la créativité et l’innovation jouent ensuite un rôle clé dans la conception de campagnes efficaces et engageantes. Le recours à des outils de communication numérique, souvent moins onéreux, permet de toucher une audience large et ciblée avec une précision accrue. Enfin, l’évaluation continue des actions et l’ajustement en temps réel permettent d’optimiser l’efficacité des efforts de communication, garantissant ainsi que chaque dépense contribue directement aux objectifs stratégiques de l’entreprise.
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Comment éviter les frais inutiles
Lors de la mise en œuvre d’une campagne de communication corporate, certains éléments peuvent s’avérer inutiles et coûteux. Autant les écarter dès la conception du projet.
Il s’agit d’éviter :
1. Le graphisme sophistiqué
Investir dans des éléments visuels trop sophistiqués et complexes peut détourner l’attention du message principal tout en gonflant les coûts de production. Un design trop chargé peut aussi ralentir le temps de chargement des pages web, ce qui nuit à l’expérience utilisateur.
2. Les vidéos longues et élaborées
Produire des vidéos longues et très élaborées peut être coûteux. D’autant que les utilisateurs préfèrent des contenus courts et concis. Des vidéos simples et bien ciblées peuvent dès lors s’avérer tout aussi efficaces (voire plus) à moindre coût.
3. Les campagnes sur des canaux inappropriés
L’utilisation de canaux de communication inadaptés à votre audience cible peut dilapider le budget sans retour sur investissement. Par exemple, investir massivement dans la publicité télévisée alors que votre audience est principalement active sur les réseaux sociaux.
4. Les événements de trop grande envergure
Organiser des événements de grande envergure et luxueux peut s’avérer extrêmement coûteux et pas toujours justifié. Des événements plus modestes, mais bien ciblés peuvent souvent générer un meilleur retour sur investissement.
5. La pléthore de matériel imprimé
La production excessive de brochures, flyers et autres matériels imprimés peut représenter une dépense inutile, surtout à l’ère du numérique. Le contenu digital peut souvent atteindre un public plus large à moindre coût.
6. Les applications mobiles personnalisées
Le développement d’applications mobiles spécifiques à une campagne peut être très coûteux et parfois peu utilisées par les clients. Avant de se lancer, évaluer si une application est réellement nécessaire ou si d’autres solutions numériques peuvent suffire.
7. Des contenus sponsorisés dispendieux
Les contenus sponsorisés sur des plateformes prestigieuses peuvent être coûteux sans garantir un retour proportionnel. Mieux vaut cibler des plateformes où se trouve effectivement votre audience et où le coût par engagement est plus raisonnable.
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Miser sur l’optimisation des ressources
Pour favoriser le meilleur rapport qualité/prix d’une campagne, il est essentiel de respecter ces 3 principes :
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Analyser le retour sur investissement (ROI)
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Évaluer l’efficacité de chaque élément de la campagne pour identifier les dépenses inutiles.
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Favoriser le contenu de qualité
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Mettre l’accent sur la qualité et la pertinence du contenu plutôt que sur la quantité et le luxe.
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Tester et ajuster
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Effectuer des tests A/B pour déterminer quels éléments sont réellement efficaces et ajuster la stratégie en conséquence.
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Toujours tenir compte du coût marginal !
En se concentrant sur ces aspects, vos campagnes de communication corporate seront tout à la fois efficaces et économiquement viables.
Calcul des coûts marginaux
Le coût marginal (CMg) d’une campagne de communication n’est plus rentable lorsque le coût additionnel pour attirer un nouveau client ou générer une vente supplémentaire dépasse le revenu marginal (RMg) généré par ce client ou cette vente.
Autrement dit, lorsque le coût marginal est supérieur au bénéfice marginal, la campagne devient non rentable. Voici comment déterminer ce seuil de manière plus formelle :
Coût marginal (CMg)
Le coût marginal (CMg) est le coût supplémentaire encouru pour chaque unité additionnelle de production (dans ce cas, chaque unité de communication ou chaque nouveau client acquis).
Il se calcule généralement en prenant la dérivée du coût total (CT) par rapport à la quantité (Q)
Revenu marginal (RMg)
Le revenu marginal (RMg) est le revenu supplémentaire généré par la vente d’une unité additionnelle de produit.
Il se calcule en prenant la dérivée du revenu total (RT) par rapport à la quantité (Q)
Point de non-rentabilité
La campagne n’est plus rentable lorsque le coût marginal dépasse le revenu marginal.
CMg > RMg
Pour déterminer ce seuil dans le contexte d’une campagne de communication spécifique, il faut :
Analyser les données historiques : observer les coûts de campagnes passées et les revenus générés.
Évaluer les coûts variables et fixes : comprendre quels sont les coûts qui varient avec l’ampleur de la campagne.
Suivre les performances de la campagne en cours : utiliser des indicateurs de performance (KPI) comme le coût par acquisition (CPA), le retour sur investissement (ROI), etc.
Modéliser les prévisions : utiliser des modèles statistiques ou économétriques pour prévoir les coûts et les revenus futurs en fonction des niveaux d’investissement dans la campagne.
Case study
Si une entreprise dépense 1.000 euros supplémentaires pour attirer 50 nouveaux clients, et que chaque client génère en moyenne 15 euros de revenu supplémentaire, le revenu marginal est :
RMg = 50 clients×15 euros/client = 750 euros
Si le coût marginal de ces 50 nouveaux clients est de 1000 euros, alors :
CMg = 1000 euros
Dans ce cas, la campagne n’est pas rentable puisque :
CMg > RMg
Ces calculs doivent être continuellement mis à jour en fonction des données réelles de la campagne pour s’assurer que les décisions sont basées sur des informations précises et actuelles.
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La preuve en image
Sur ce graphique, l’axe horizontal représente le coût et l’axe vertical la qualité cognitive. Le point rouge sur la courbe indique la zone en amont de laquelle le coût supplémentaire entraîne une amélioration significative de la qualité. Ce qui représente le meilleur rapport qualité-prix. Le graphique montre qu’au-delà de trois unités de coûts, l’investissement marginal n’est plus rentable (zone grise) et que chaque unité d’investissement supplémentaire génère des gains de qualité de plus en plus faibles.
Le point noir indique le début de la zone où le coût marginal (CMg) de l’opération n’est vraiment plus rentable en termes de rapport qualité/prix. Trois unités de coût supplémentaire n’apportent que 0,8 unité qualité. Autrement dit, vous payez beaucoup pour des améliorations de la qualité cognitive ou du ROI de plus en plus minimes.